Retour sur l’histoire du doigt avec les périodes les plus marquantes de son évolution.

Bien avant de devenir le signe de ralliement du PTIT CON et de ses potes. Le doigt d’honneur (« doigt »  pour les intimes) a parcouru l’espace et le temps de façon toujours plus irrévérencieuse pour revenir comme un signe de bienveillance.

L’histoire du doigt !

Le 1er doigt remonte à l’époque de la Grèce antique en 2304 av. PTIT CON.

À partir de cette date, le poète Aristophane, premier PTIT CON connu de l’histoire, l’inclut dans l’une de ses comédies. Il sert alors aux acteurs pour représenter un sexe d’homme sans se dénuder sur scène. Le premier doigt de l’histoire avait donc vocation à faire rire le public en imitant une bistouquette. Et oui, l’humour antique subtil jouait déjà avec notre intimité.

Le pouvoir insultant de notre majeur apparaît quelques années plus tard avec Diogéne, philosophe connu pour vivre dans un tonneau, (l’important c’est d’être  heureux !) Diogéne avait l’habitude de tendre son majeur à tous les voyageurs qui osaient lui demander où trouver ses ennemis. Tendre son doigt devient dès lors un signe insultant.

Sous l’empire Romain c’est Caligula, l’empereur sanguinaire un peu fou sur les bords, qui aurait un jour exigé des sénateurs qu’ils s’agenouillent et baisent son majeur… Quel PTIT CON !

Après une longue disparition sous l’Eglise Chrétienne, qui considérait le « digitus impudicus » comme trop vulgaire et c’est pourquoi le Vatican le bannit des mœurs.

Après cela, le doigt fait alors son come-back sur les champs de bataille de la guerre de cent ans (14ème siècle) avec une variante née chez les archers Anglais : index et majeur dressés. Signe de défiance aux français qui coupaient les doigts de leurs prisonniers.

« T’auras pas ces deux la ! »

Et maintenant ?

Aujourd’hui, plus qu’une insulte, le doigt levé signifie l’irrévérence et la bienveillance de ceux qui le tendent face aux codes établis. Il est le signe des gens libres et de ceux qui refusent de penser comme tout le monde. PTIT CON en fait l’emblème des valeurs qu’il porte fièrement, comme l’écusson de ceux qui refusent les étiquettes.

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